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Nom du blog :
psychopitre
Description du blog :
Qui cache son fou, meurt sans voix... Henry Michaud
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
26.07.2008
Dernière mise à jour :
02.06.2019

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Un sujet tabou...

Publié le 12/03/2012 à 16:48 par psychopitre Tags : sourire histoire enfants film mer voyage humour

...et un film à voir, qui traite de la sexualité des handicapés;

Hasta la Vista, un Film flamand très peu distribué;

Trois jeunes Belges lourdement handicapés, un non-voyant, un tétraplagique et un cancéreux, vont entreprendre un Voyage pour perdre leur virginité; vont descendre en minibus jusqu'en Espagne dans un établissement "spécialisé";

Avec des prostituées formées "aux fauteuils";

Ils sont conduits par une infirmière obése, qu'ils surnomment "Mamouth" ; car les handicapés ont de l'humour... à commencer envers eux-mêmes;

Jamais la mise en scène tombe dans le pathos, et évite tous les écueils, surtout la compassion;

On rit, on s'émeut, et quand l' un des trois meure dans son fauteuil, au bord de la mer, il est déniaisé...

C'est l'histoire d'un road-movie d'enfants pas gâtés; on les suit, un Sourire en coin, et tout ragaillardis;

Le chemin est pourtant encore bien long...

The electric mist

Publié le 21/04/2009 à 12:00 par psychopitre
Dans la brume électrique: film de Bertrand Tavernier, d'après le roman de James Lee Burke;

Dave Robichaux, lieutenant de police en Louisiane, enquête sur une série de meurtres de jeunes femmes violées par un détraqué; à peine commence -t-il son enquête, qu'il est rattrapé par une autre affaire vieille de quarante ans , un crime raciste; il mène les deux affaires ensemble...

Bertrand Tavernier est un cinéaste d'atmosphère; quand il tourne l'horloger de Saint Paul, on vit vraiment à Lyon, dans Coup de torchon ( son meilleur film?) on trempe tout à fait dans l'ambiance moite du Sénégal; homme cultivé, passionné de cinéma américain, Bertrand Tavernier s offre enfin un cadeau; réaliser son rêve: tourner un film américain!

On est bien dans l 'atmosphère poisseuse du Bayou, à travers les paysages ravagés par l'ouragan Katrina; le scénario ressert autour de la psychologie de ce policier tourmenté et alcoolique, ancien combattant du Vietnam, qui, quand tout est trop dur, parle à ce vieux général de la guerre de seccesion;

Mais l'intrigue part dans bien des directions ( mafia, politique meurtres) qui dilue le scénario et casse quelque peu le suspens; ce qui donne une impression de longueur; le film est entièrement porté par l'interprétation de Tommy Lee Jones, convaincant et émouvant; quand il récupère sa fille (adoptive) sequestrée, on lit dans son regard usé qu' on ne le reprendra plus à déterrer les cadavres...mais quand on a bu...

Au total, un assez bon polar; c'est tout de même un Tavernier!

Un chat un chat

Publié le 15/04/2009 à 12:00 par psychopitre
Film de Sophie Fillières

Une écrivaine, (Chiara Mastroianni) connaît la panne de la page blanche, que connaissent bien des écrivains; Immature, elle vit chez sa mère, est en rupture amoureuse, a un enfant, est somnambule et fait des gâteaux avec les coquilles d'oeufs,( ouaf, ouaf!) Puis, elle rencontre une étudiante qui lui demande d'écrire sur elle...

Ouais; une règle d'or au cinéma comme au théâtre : ne pas ennuyer...
Voilà un film pour télérama; il faut se méfier des critiques intellos de cet hebdo télé par ailleurs excellent;
Un scénario prétentieux, des dialogues sous Durassiens..exemple; elle vient de prendre une averse; il lui tend une serviette;
lui: tiens, essuie-toi tu vas attraper la mort...
Elle: Déjà la vieillesse; voilà un dilemne qui n'est pas prêt d'être résolu...
Quand je vous le disais!
et de nous expliquer subtilement, car le spectateur lambda n'est pas un imbécile, (...) que l'écrivain n'écrit jamais que sur lui-même; tu parles!
Le cinéma français gâche des kilomètres de péllicules, soit avec des comédies socio- cul cul qui font des millions d'entrées, ou des scénarii réalisés par cette nouvelle génération d'intellos du cinéma ;( c'est qu on n'est pas n'importe qui , on a fait la fémis;) des Assayas, Honoré et mademoiselle Fillières...mais il faut que des films légers (sic) cartonnent pour que les autres plus lourds (resic) puissent trouver des distributeurs;

Résultat, et même si Chiara Mastroianni est juste ( elle n'a pas de mal à être meilleure actrice que sa célèbre mère), on avale un pavé de près de deux heures; heureusement il y a un chaton... d'où le titre? ah non? ah bon! Loufoque et tendre, dit Télérama; plombant et soporifique, dit un grincheux...serviteur!

Le silence de Lorna

Publié le 05/09/2008 à 12:00 par psychopitre
La critique est aisée l'art est difficile; le critique est un artiste raté...etc, etc...
Devant le marasme du cinéma français actuel ( la névrose du couple, de la famille,
ou des comédies poussives), on trouve ici ou là quelques bons films;même si les frères Dardennes sont belges! c'est le cas de leur dernier film, même si ce n'est pas le chef-d'oeuvre que prétend télérama, the référence;..

Un beau portrait de femme, selon la ligne habituelle des Dardennes, ici côté des bourreaux...

Lorna fait un mariage blanc dans un film noir...
Car la parfaite maîtrise de la mise en scène et l'excellente direction d'acteurs (Jérémie Régnier parfait) font de ce film un thriller;
et l'ellipse savamment insérée laisse le spectateur en attente, ce qui fait passer quelques longueurs...

car tout se joue autour de cette ellipse, ou quel que soit le contexte, seule une femme ne triche pas , avec l'idéalisation de la vie sentimentale...prise au piège cynique et violent de ses mafieux; Lorna se réfugiera dans son monde, ce qui donne une fin magnifique...Lorna enfin libre (ou le croit elle), parle à son ventre...

Avec Le fils, le silence de Lorna est le meilleur film des frères Dardennes; (ça n'engage que moi!)